Né en 1942 à Briançon. Vit et travaille à Marseille.
De la distraction à l’activité purement utilitaire, de la soumission au libre-arbitre, du bon sauvage à la barbarie humanitaire, de l’art étriqué au tout est art, de la figuration à l’abstraction, du bonheur pour tous à chacun pour soi, de l’homme à la femme, de l’individu à la société, de la vie à la mort, du temps passé au temps présent, Dominique Angel met dans son œuvre autant de grandes causes que de petits plaisirs.
Au cours de ces dernières années, son travail s’est développé autour de la représentation d’un espace architectural propre à la sculpture et à l’installation. Il conçoit ses projets dans l’alternance des terrains des arts plastiques et de la littérature.
Destruction annoncée n°10, encre de chine, mine de plomb et aquarelle, 30 x 40 cm
Destruction annoncée n°10, encre de chine, mine de plomb et aquarelle, 30 x 40 cm
Destruction annoncée n°10, encre de chine, mine de plomb et aquarelle, 30 x 40 cm
Destruction annoncée n°10, encre de chine, mine de plomb, 30 x 40 cm
Destruction annoncée n°10, encre de chine, mine de plomb et aquarelle, 30 x 40 cm
Sans titre, 2017, terre cuite et engobe, 76 x 20 x 23 cm
Sans titre, 2017, terre cuite
Sans titre, 2017, aquarelle sur papier, 51 x 36 cm
Sans titre, 2017, terre cuite
Sans titre, 2017, aquarelle sur papier, 51 x 36 cm
Sans titre, 2017, terre cuite, engobe, 28 X 21,5 X 16 cm
Sans titre, 2017, terre cuite, engobe, émail, 48 X 17 X 16 cm.
Sans titre, 2017, terre cuite, engobe, 34 X 22 X 18 cm
Projet architecture, 2018, aquarelle, 40 x 30 cm
La beauté moderne, 1991, fer, peinture acrylique
Pièces supplémentaires, 1991/2019, fer, plâtre, rouille, mine de plomb, ocre rouge, aquarelle, 50 x 50 cm
Pièces supplémentaires, 1991/2019, fer, plâtre, rouille, encre noire, sépia, mine de plomb, gomme laque, 40 x 40 cm
Pièces supplémentaires, 1991/2019, fer, plâtre, rouille, encre noire, aquarelle, gomme laque, 40 x 40 cm
Pièces supplémentaires, 1991/2019, fer, plâtre, mine de plomb, aquarelle, 50 x 50 cm
Pièces supplémentaires, 1991/2019, fer, plâtre, rouille, encre noire, sépia, mine de plomb, 40 x 40 cm
Texte (extrait)
« Penser la sculpture de la période contemporaine dans ses rapports avec la littérature, l’architecture et le vaste champ des arts visuels vise tout autant à comprendre les phénomènes d’interaction qui l’on façonnée qu’à mieux cerner ses spécificités. En parfaite concordance avec la sculpture , à la fois dispositif, installation, architecture. Il s’agit pour lui d’explorer l’espace dans ses multiples acceptions – espace généré par le corps du spectateur, espace architectural, espace mental et imaginaire, espace du récit – en le contraignant, l’outrepassant, le réinventant. ».
Pascal Neveux, extrait de « Trafiquer l’inconnu pour y trouver du nouveau »
Semaine n°42.09, Arles, Editions Analogues, oct. 2009.